les vésicules étant spécifiques des cellules qui les produisent. Elles pourraient aussi contribuer à perfectionner des protocoles de thérapies géniques – dont le but est d’introduire du matériel génétique dans des cellules dysfonctionnelles – et de thérapies ciblées qui visent à détruire des cellules cancéreuses. En effet, « les vésicules extracellulaires agissent comme des véhicules biologiques qui permettent le transport de biomolécules entre cellules, explique Grégory Lavieu, biologiste et directeur d’une équipe de recherche labellisée Inserm à l’université Paris Cité. Elles acheminent ainsi des protéines, des lipides ou du matériel génétique d’une cellule donneuse vers une cellule receveuse. » Le relargage du contenu vésiculaire peut alors modifier le comportement et les propriétés des cellules receveuses. Ces caractéristiques des vésicules extracellulaires pourraient donc être exploitées pour acheminer des substances actives de façon ciblée à certains tissus et cellules de l’organisme.

les vésicules étant spécifiques des cellules qui les produisent. Elles pourraient aussi contribuer à perfectionner des protocoles de thérapies géniques – dont le but est d’introduire du matériel génétique dans des cellules dysfonctionnelles – et de thérapies ciblées qui visent à détruire des cellules cancéreuses. En effet, « les vésicules extracellulaires agissent comme des véhicules biologiques qui permettent le transport de biomolécules entre cellules, explique Grégory Lavieu, biologiste et directeur d’une équipe de recherche labellisée Inserm à l’université Paris Cité. Elles acheminent ainsi des protéines, des lipides ou du matériel génétique d’une cellule donneuse vers une cellule receveuse. » Le relargage du contenu vésiculaire peut alors modifier le comportement et les propriétés des cellules receveuses. Ces caractéristiques des vésicules extracellulaires pourraient donc être exploitées pour acheminer des substances actives de façon ciblée à certains tissus et cellules de l’organisme.

les vésicules étant spécifiques des cellules qui les produisent. Elles pourraient aussi contribuer à perfectionner des protocoles de thérapies géniques – dont le but est d’introduire du matériel génétique dans des cellules dysfonctionnelles – et de thérapies ciblées qui visent à détruire des cellules cancéreuses. En effet, « les vésicules extracellulaires agissent comme des véhicules biologiques qui permettent le transport de biomolécules entre cellules, explique Grégory Lavieu, biologiste et directeur d’une équipe de recherche labellisée Inserm à l’université Paris Cité. Elles acheminent ainsi des protéines, des lipides ou du matériel génétique d’une cellule donneuse vers une cellule receveuse. » Le relargage du contenu vésiculaire peut alors modifier le comportement et les propriétés des cellules receveuses. Ces caractéristiques des vésicules extracellulaires pourraient donc être exploitées pour acheminer des substances actives de façon ciblée à certains tissus et cellules de l’organisme.

Vincent Fleury, de MscMed, est l’invité de l’émission « La Science CQFD » sur France culture le 23 novembre 2023, pour débattre d’embryons synthétiques. Les embryons synthétiques sont des masses de cellules obtenues en assemblant des cellules souches, qui reproduisent « plus ou moins » le programme embryonnaire et parviennent à produire des sortes d’embryons (des ébauches de cerveau, de coeur, de vertèbres apparaissent). Vincent Fleury apportera l’éclairage de l’embryologiste « normal » sur les travaux en « embryologie synthétique ». A quoi ça sert? Faut-il le faire? Est-ce légal? Les podcasts de « La Science CQFD » sont à retrouver ici.

 

ont en effet récemment mis au point des procédés de biofabrication de cellules donneuses à même de produire des vésicules extracellulaires capables de détruire des cellules receveuses.

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